lundi 20 avril 2009
Click-to-buy maintenant disponible en France ainsi que dans 7 autres pays
vendredi 10 avril 2009
Confusion dans les communiqués Google ?
La semaine dernière Google annonçait l'abandon des blocs vidéo YouTube hébergés sur des sites tiers, permettant au propriétaire du site de gagner un peu d'argent via les publicités AdSense. Une annonce confusante et sur laquelle la société a finalement choisi de revenir afin de rassurer les éditeurs.
Rappelons que le bloc vidéo permettait aux éditeurs de créer des lecteurs YouTube accompagnés d’annonces publicitaires au sein de leurs comptes Google AdSense. Ils pouvaient alors intégrer ces lecteurs à leurs pages web, et les revenus générés étaient partagés entre les partenaires YouTube, l’éditeur AdSense, et Google.
Google ne revient pas sur le retrait des supports vidéo mais propose en contrepartie des solutions de monétisation alternatives aux créateurs de contenus vidéo.
Parmi celles-ci, nous retrouvons :
- AdSense pour les vidéos
AdSense pour les vidéos permet aux créateurs de générer des revenus grâce aux vidéos qu’ils possèdent. Ils peuvent intégrer un système d’annonces ciblées au sein de leurs vidéos (avant, après, ou au milieu), ou de superposer des publicités sur les lecteurs Flash. Les revenus sont alors partagés entre le propriétaire de la vidéo et Google. Les partenaires actuels incluent Encyclopedia Britannica, Demand Media, et College Humor.
- Programme de partenariat YouTube
De la même façon, le programme de partenariat YouTube permet aux créateurs de partager les revenus générés par des annonces directement dans YouTube. Les participants peuvent choisir les vidéos sur lesquelles ajouter de la publicité. Ces vidéos leur rapportent alors de l’argent lorsqu’elles sont consultées sur YouTube ou sur les sites web sur lesquels elles auront été intégrées, et les revenus générés sont partagés entre les partenaires YouTube et Google.
Le programme de partenariat YouTube a déjà séduit des milliers de participants, de dix pays dans le monde, et s’ouvre encore à tous ceux qui le désirent.
Une nouvelle annonce qui se veut rassurante mais qui reste néanmoins toujours ambigue pour les éditeurs.
mardi 7 avril 2009
Wunderloop lance sa fonctionnalité d’analytique comportementale
lundi 6 avril 2009
Rachat de Twitter par Google ? Du nouveau !
Pourquoi Google s'intéresse t-il à Twitter ?
dimanche 5 avril 2009
Vers une rationalisation du nombre de formats ?
Crise de croissance ? Champion français des gestionnaires de bannières publicitaires, Smart AdServer, a publié mardi matin les conclusions d'une étude interne portant sur la popularité des différents formats de bannières diffusées par son intermédiaire.
Selon ce baromètre baptisé Smart AdMetrics, le marché français compte encore une grande variété de formats (plus d'une vingtaine) mais des bannières comme la 728x90 ou le pavé 300x250 captent désormais à eux seuls plus de 60% des impressions, essentiellement au dépend de formats « historiques » comme le carré 250x250 ou la bannière 468x60, en voie de disparition.
L'étude pointe également une contradiction du marché publicitaire. Au delà d'une croissance objective de la superficie des bannières les plus populaires, Smart Adserver estime que celle ci a progressé moins vite que la résolution des écrans. « Dans les années 90, une bannière 468x60 représentait jusqu'à 9% de la résolution d'un écran VGA 640x480 pixels. Aujourd'hui, nous estimons que cette proportion tombe à 6% pour des bannières 728x90 s'affichant sur un écran XSGA de 1280x800 pixels de résolution » constate Cyrille Geffray, Directeur Général de Smart Adserver.
Une « crise de croissance » pour la bannière publicitaire des années 2000, paradoxalement moins visible aujourd'hui que dans les années 90, et qui pourrait peut être expliquer la moindre croissance du display par rapport aux liens sponsorisés. Reste pour les professionnels du secteur à proposer des bannières plus riches, plus créatives et sans doute tout simplement plus grandes, pour relancer une dynamique de croissance sur un segment dont l'objectif premier reste justement... la visibilité.
mercredi 1 avril 2009
Croissance du e-Commerce européen dans les 5 années à venir
- une meilleure maitrise de l’e-mailing
- une plus forte densité de population
- une offre de paiement plus importante et plus sécurisé
Près de 45% des internautes déclarent qu’au cours des 3 derniers mois, ils ont recherché un produit en ligne pour finalement l’acheter en magasin.
- le désir de voir et de toucher le bien (57%)
- le souhait de ne payer les frais d'expédition (28%)
- la préférence pour un SAV réel (27%)
- les conseils des vendeurs en magasins (26%)
- le souhait d’obtenir immédiatement le produit (21%).